• Le Choix des Lecteurs # 190 : Television - Poor Circulation (1998)

    Ce bootleg de Television couvre la période des débuts où Richard Hell était dans le groupe qui, au départ, s'appelait les Neon Boys. Hell quitte ensuite le groupe en 1975 pour aller former The Heartbreakers première formule...

    Le son n'est pas toujours au rendez-vous mais il est toujours intéressant d'entendre les balbutiements de Television.

    Les titres:

    1 Eat The Light 2:54

    2 Venus De Milo 3:08

    3 Excitement 3:25

    4 I'm Gonna Find You 4:24

    5 Horizontal Ascensions 5:18

    6 Close Up 3:12

    7 You Rip My Feelings Out (Instrumental) 4:24

    8 Hard On Love 4:53

    9 Excitement 4:39

    10 Judy 2:54

    11 Psychotic Reaction 3:33

    12 What I Heard 3:35

    13 Change Your Channels 6:28

    14 Double Exposure 4:01

    15 Fuck Rock & Roll 4:30

    16 U.F.O. 3:22

    17 Poor Circulation 5:47

    18 Blank Generation 2:38

    19 Come On In 4:06

    Tracks 1 & 2: Rehearsal, Winter 1974; Tracks 3-6: Rehearsal, Spring 1974;

    Tracks 7-15 Recorded live at Max's Kansas City, August 1974; 

    Tracks 16 & 17: Recorded live at CBGB's, January 1975; 

    Track 18: Recorded live at CBGB's, March 1974. 

    Track 19 is unlisted on the artwork, but is titled "Come On In" on the disc.

    Le Choix des Lecteurs # 190 : Television - Poor Circulation (1998)

    Pour écouter ces enregistrements, ce n'est pas loin....Pauvre circulation

    Et maintenant, à vous de choisir.... (pas simple aujourd'hui)

    Tom Verlaine - Palace Paris - 23 juin 1982

    Tom Tom Club - Red Hook NY - 30 juin 2001

    Johnny Thunders - Nashville - 9 Mars 1986

    That's all folks!

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  • Mes Indispensables # 36 : The Beatles - Revolver (1966)

    Bien qu'ayant plutôt baigné dans une atmosphère stonienne quand j'étais enfant à cause de l'influence de mes grands frères, je n'en ai pas pour autant négligé les Beatles. Comme les Stones, et même si je les ai fréquentés un peu moins, je considère qu'ils font partie des incontournables. Ils seront donc présents encore les prochaines semaines, la difficulté résidant toutefois dans le choix (forcément critiquable et sans doute critiqué) des albums. Il y en aura pas mal et dans le désordre...

    Commençons par "Revolver" . Et comme je me sens d'humeur fainéante aujourd'hui, je laisse la parole à un dénommé Maxime qui en parle mieux que moi (voir ici le texte original). Merci Maxime!

    Si vous ne connaissez les Beatles qu'à travers leurs tubes (soit, en gros, le contenu des best of rouges et bleus), vous ne savez pas ce qu'est Revolver, leur 7ème album (mon préféré). Seulement représenté par deux singles ("Yellow Submarine" et "Eleanor Rigby") qui ne traduisent pas la qualité des autres compos, c'est à ce titre le plus sous-estimé des opus des Fab Four. Revolver, c'est le coup de feu pour un nouveau départ, amorcé dans Rubber Soul et entériné par St Pepper : en route vers le psychédélisme et le Summer of Love ! En 1966, le quatuor entreprend ce virage dont le présent album est le paradoxal témoignage, paradoxal car perpétuellement à cheval entre la pop fraîche et insouciante qui a fait le succès du groupe et leurs aspirations plus fantaisistes qui les amèneront à chercher Lucie dans le ciel avec ses diamants dans un champ de fraises pour l'éternité. A l'image de la pochette, c'est donc un Beatles ambivalent, les regards tournés vers des directions divergentes, auquel on est confronté.

    Ça commence avec un "Taxman" au tempo repiqué sur le "I Feel Good" de James Brown qui, s'il reste assez "beatlesien", a le don de surprendre. Charge contre les excès du ministère des finances britanniques (plus de trente ans avant Florent Pagny, on ne pouvait avoir leur liberté de penser), il nous fait entrer dans l'univers atypique de cet album. Les cordes s'invitent sur un "Eleanor Rigby" concocté de main de maître par Mac Cartney. Aussi imparable qu'archi connu. "I'm only Sleeping", hymne à la paresse, co-écrite par Mac Cartney en hommage à son frère ennemi, John Lennon, adepte des grasses matinées qui portent en elles les excès de la veille. Les paroles dénotent déjà le goût du génial guitariste pour le hash et le LSD.

    Plutôt que de détailler dans l'ordre l'album, recensons le côté lumineux des Beatles, celui de la pop insouciante. On le retrouve dans "Here, there and everywhere", jolie ballade qu'affectionne Lennon, le magnifique "She said, she said" dont les paroles sont nées durant une rêverie nourrie aux substances illicites, le pétillant "Good Day Sunshine" qui montre qu'une chanson sur l'amour heureux (quand une telle chose arrive, soit 1 fois sur 15 milliards) peut être belle et réussie sans être niaise, chanson dont le poignant et sublime "For no one" est l'idéal contrepoint. "And your bird can sing" et "Got to get her into my life" illustrent à la perfection l'art des Beatles : simplicité apparente de l'écriture, évidence de la mélodie, génie de la structure. Rien à redire.

    Observons la face B des Fab Four à présent. Chacun s'autorise à explorer ses propres inspirations : Mac Cartney et Lennon dans leurs trips respectifs, Harrison et l'orientalisme dans "Love to you" où sitares et tablas s'invitent, Ringo Starr au chant de "Yellow Submarine". Certes, ce n'est pas la meilleure compo des Beatles et dans ce chef d'oeuvre, elle ferait presque tâche. Faites-là quand même écouter à votre petit frère, c'est du Beatles prémâché comme les petits pots Blédina, histoire de le former au goût des bonnes choses. Vous lui servirez l'album quand il se sera fait les dents. "Doctor Robert" nous propose de faire la connaissance d'un incroyable médecin dont les médicaments font décoller à 7 mètres du sol (idéal contre la grippe et plus radical que le viagra). Ce bijou se termine sur un "Tomorrow Never Knows" culte : riff de batterie inversé, envolées d'instruments orientaux, ligne de chant ondulante, la pop music ne s'en est pas encore remise (voir "Let Forever be" des Chemical Brothers).

    Tout serait parfait sans ce transfert pourri en stéréo de la version CD : instruments dans la baffle gauche, voix dans le droite. Mais qui a supervisé ça ? Il aurait été autrement plus urgent de livrer un remaster convenable de cet album plutôt qu'une version à poil de Let it be. Enfin, comme le disent si bien les Fab', demain ne sait jamais...

    Ma version CD de 2009 provient, bizarrement, d'Argentine et sans doute remixée, donc je n'ai pas les problèmes d'écoute évoqués plus haut. 

    Les titres:

    1 Taxman 

    2 Eleanor Rigby 

    3 I'm Only Sleeping 

    4 Love You To 

    5 Here, There And Everywhere 

    6 Yellow Submarine 

    7 She Said She Said 

    8 Good Day Sunshine 

    9 And Your Bird Can Sing 

    10 For No One 

    11 Dr. Robert 

    12 I Want To Tell You 

    13 Got To Get You Into My Life  

    14 Tomorrow Never Knows

    Mes Indispensables # 36 : The Beatles - Revolver (1966)

    Je suis sûr que vous le possédez déjà, mais on ne sait jamais....Colt

    That's all folks!

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  • Live : The Stray Cats - Budokan Tokyo - 1981

    Ce live est probablement une compilation des deux concerts donnés en septembre 1981 au Nakano Sun Plaza de Tokyo car ils n'ont pas joué au Budokan cette année-là. Et comme souvent avec un bootleg japonais, le son est excellent...

    Les titres:

    TONIGHT'S THE NIGHT

    DOUBLE TALKING BABY

    RUMBLE IN BRIGHTON

    MY ONE DESIRE

    UBANGI STOMP

    DRINK THAT BOTTLE DOWN

    STORM THE EMABASSY

    FISHNET STOCKINGS

    IMPORTANT WORDS

    ROCK THIS TOWN

    RUNWAYS BOYS

    CROSS THAT BRIDGE

    SOMETHING ELSE 

    BE BOP-A-LULA

    Live : The Stray Cats - Budokan Tokyo - 1981

    Pour écouter cette compil' live, ce n'est pas loin....Chats errants

    That's all folks!

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  • Homegrown versus Homegrown

    L'album tant attendu des fans du Loner est sorti cet été. Vous le trouverez ci-dessous. Mais, pour casser un peu les habitudes, je vous propose aujourd'hui le petit jeu des comparaisons. En effet, l'ami Soniclovenoize nous avait proposé en 2017 , sans savoir que l'labum "officiel" sortirait un jour "sa" version d'Homegrown... J'ai trouvé intéressant de comparer les deux versions en exposant brièvement les raisons du choix de Soniclovenoize (qui figurent in extenso mais en angalis dans le fichier texte joint au partage) .

    Voici donc les titres de l'album de 2020 (merci Jean-Paul au passage):

    01  Separate Ways (3:32)

    02  Try (2:49)

    03  Mexico (1:40)

    04  Love Is A Rose (2:17)

     

    05  Homegrown (2:47)

    06  Florida (2:58)

    07  Kansas (2:11)

    08  We Don't Smoke It No More (4:51)

    09. White Line (3:13)

    10 - Vacancy (3:58)

    11 - Little Wing (2:12)

     

    12 - Star Of Bethlehem (2:48)

    Et voici maintenant les titres de la "reconstruction" de 2017 par Soniclovenoize.

    1.  Homegrown

    2.  Little Wing

    3.  The Old Homestead

    4.  Love is a Rose

    5.  Love Art Blues

    6.  Star of Bethlehem

    7.  Give Me Strength

    8.  Deep Forbidden Lake

    9.  Pardon My Heart

     

    10.  White Line

    Sources utilisées:

    Neil Young - American Stars n Bars (2003 Reprise CD remaster)

    Neil Young – Chrome Dreams (bootleg, 2008 Godfather Records)

    Neil Young – Decade (original CD pressing)

    Neil Young – Hawks and Doves (2003 Reprise Recerds CD remaster)

    Neil Young – Zuma (1993 CD remaster)

     

    Crosby, Stills, Nash & Young – CSNY 1974 (2014 CD box set)

    Soniclovenoize avait choisi de commencer l'album "reconstruit" avec Homegrown mais la version originale n'existait pas donc il l'a remplacée par une version de 1975 de l'album "American Stars 'n bars" avec le Crazy Horse qui sonne plus rock. Les versions de "Liitle wing" sont les mêmes ainsi que celles de "Love is a rose". "The old homestead" n'est pas sur la version 2020 et a été empruntée à Hawks and Doves  tandis que "Star of Bethlehem" a été prise sur "American stars n' bars". A partir de là, les titres choisis par Soniclovenoize ne sont pas ceux de l'officiel de 2020.

    Finalement, ce sont deux visions différentes de l'album avec des titres qui sont tous tirés des sessions de Homegrown à en croire les spécialistes.... Profitez-en!

    Pour écouter , Homegrown 2020 (re-merci Jean Paul) , ce n'est pas loin... Version 2020

    Pour la reconstruction, ce n'est pas loin.....Version 2017

    That's all folks! 

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  • Brillant : The Apartments - No song, no spell, no madrigal (2015)

    Si vous appréciez un groupe comme les Tindersticks,

    Si vous aimez la pop mélancolique, 

    Si les artistes du style de Peter Milton Walsh vous attirent,

    Si vous kiffez les albums léchés, aboutis, ou rien n'est dû au hasard,

    Si vous pouvez supporter plusieurs écoutes pour découvrir la beauté d'un disque,

    Alors, précipitez-vous sur ce disque de The Apartments de 2015.

    Alors, vous pourrez ensuite, en guise de dessert, essayer l'écoute de leur nouvel album qui vient de sortir et que je me suis procuré les yeux fermés.

    Brillant et culte. Avouez aussi que la pochette est belle...

    Les titres:

    1 No Song, No Spell, No Madrigal 5:57

    2 Looking For Another Town 4:22

    3 Black Ribbons 4:02

    4 Twenty One 6:02

    5 The House That We Once Lived In 5:14

    6 September Skies 3:56

    7 Please, Don't Say Remember 3:35 

    8 Swap Places 5:07

    Brillant : The Apartments - No song, no spell, no madrigal (2015)

    Pour écouter, ce n'est pas loin....Juste brillant

    That's all folks!

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  • Frenchy But Chic # 145 : Stalag - Punk-rock Bordeaux (1980)

    Un post qui fera plaisir à Dado puisque je l'ai trouvé sur un blog ami "Data never dies" ( grand merci à H.W) et qu'il l'a commenté aussi. D'autre part, l'ami Dado étant d'un département voisin il a sûrement apprécié par le passé ce groupe bordelais formé en 1978 et dissous en 1982. Il paraît que c'était aussi bien que The Damned sur disque et aussi fou que The Stooges sur scène. N'ayant pas de live, il faut donc écouter le disque pour faire la comparaison avec The Damned... 

    Le leader Thierry Tuborg deviendra écrivain, participera au groupe Leningrad. Le groupe s'est reformé pour un concert exceptionnel à Bordeaux en 2005 et a fait paraître un disque en 2007 intitulé "Dernier cri"  avec des titres de 1979 et de 1980 en studio et en live.

    Les titres:

    1 Int. Aux - De 18 Ans 3:51

    2 Dernier Cri 2:07

    3 Carolus D'Or 3:21

    4 Sauf Nécessité 1:45

    5 Marche Ou Crève 2:23

    6 L'Étudiant 2:37

    7 Date Limite De Vente 3:32 

    8 Secrets 3:24

    Frenchy But Chic # 145 : Stalag - Punk-rock Bordeaux (1980)

    Pour écouter, ce n'est pas loin....Papa Schulz

    That's all folks! 

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  • Le Choix des Lecteurs # 189 : The Stranglers - Horseshoe Tavern - Toronto - 14 Avril 1978

    Une version de ce concert existe en "audience" avec 15 titres mais celle-ci, plus courte, est largement supérieure au niveau de la qualité du son. De plus, la période - 1978 - est idéale pour un live du groupe. Alors, je n'ai pas trop hésité à vous le proposer et vous, à le choisir...

    Les titres:

    1. Bring on the Nubiles

    2. Dead Ringer

    3. Hanging Around

    4. Nice 'n' Sleazy

    5. No More Heroes

    6. Tank

    7. Threatened

    8. Burning Up Time

    9. Straighten Out

     

    10. Down in the Sewer

    Le Choix des Lecteurs # 189 : The Stranglers - Horseshoe Tavern - Toronto - 14 Avril 1978

    Pour écouter ce concert, ce n'est pas loin....étrangleurs en vivant

    Mais ce n'est pas tout! c'est à votre tour de bosser....

    Anna Ternheim - Hambourg - 20 Septembre 2019

    Tindersticks - Londres - 29 Avril 1997

    The Triffids - Alabama Cafe - Munich - 11 Juin 1987

    That's all folks!

     

     

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  • Mes Indispensables # 35 : Bashung - Osez Joséphine (1991)

    Oh oui, je sais bien! Ce n'est pas le meilleur Bashung selon la critique mais il faut reconnaître que c'est un grand cru. J'ai hésité... J'aurais pu choisir "fantaisie Militaire" ou encore "Bleu Pétrole" ou encore... Mais j'ai choisi celui-là , peut-être parce qu'il est plus facile d'accès, peut-être parce qu'il est composé pour une grande partie de reprises : Well Alright de Buddy Holly, Blues eyes crying in the rain chantée entre autres par Willie Nelson, She Belongs to me de Bob Dylan et Nights in white satin des Moody Blues. Sans doue aussi parce qu'il contient un gros tube Osez Joséphine et une chanson extraordinaire "Madame Rêve"... Il y a une autre raison à ce choix: le son. La plupart des titres sont enregistrés aux Studios Ardent de Memphis avec des musiciens de renom : Sonny Landreth (ex- Flying Burrito Brothers) et Bernie Leadon (ex-Eagles) et le son qu'ils dégagent me plaît énormément... Le reste , ce qui ne collait pas au "parfum" des Studios Ardent a été mis en boîte à Bruxelles aux studios ICP. 

    Enfin, c'est le premier que j'ai vraiment apprécié et c'est par lui que j'ai trouvé l'entrée de l'univers de Bashung .. Alors j'espère que vous serez magnanimes et que vous approuverez ce choix même si ce n'est pas forcément le vôtre.

    Les titres:

    1 J'Écume 3:42

    2 Volutes 3:38

    3 Happe 3:05

    4 Well All Right 2:06

    5 Les Grands Voyageurs 4:45

    6 Blue Eyes Crying In The Rain 2:15

    7 Osez Joséphine 2:56

    8 Kalabougie 3:23

    9 She Belongs To Me 4:07

    10 Madame Rêve 4:48 

    11 Nights In White Satin 4:52

    Mes Indispensables # 35 : Bashung - Osez Joséphine (1991)

    Pour écouter, ce n'est pas loin....Bah Chung!

    That's all folks!

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  • Live : Stereolab - Black Session - 30 Mars 1993

    Ce soir-là, Stereolab partageait l'affiche avec Dominique A. Côté disques, c'était après "Peng", "Space Age Batchelor Pad Music" et une flopée de singles assez enthousiasmants - Super Electric par exemple - que l'on retrouvera sur la compilation "Switched on" en 1992. Il faut écouter au moins une fois ce groupe et on est attiré ....ou pas. Personnellement, j'aime bien mais ça ne ressemble à rien d'autre. A noter une reprise des Silver Apples "Ruby" ( voir ici ) 

    Les titres:

    01. Song With No Name (aka Jenny Ondioline)

    02. Avant Garde M.O.R.

    03. Space Age Batchelor Pad Music (Mellow)

    04. Ruby (Silver Apples cover)

    05. Super-Electric

     

    06. John Cage Bubblegum

    Live : Stereolab - Black Session - 30 Mars 1993

    Pour écouter, ce n'est pas loin.....Post-Rock

    That's all folks!

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  • Place aux Femmes! Bjork - Tokyo - 5 décembre 2001

    En toute franchise, je connais très peu l'oeuvre de Bjork que ce soit avec The Sugarcubes ou en solo par la suite. Mais je ne pouvais rester sur cette ignorance. Alors, quand j'ai vu ce bootleg proposé sur un site , je me suis dit que c'était le bon moment pour l'écouter en live d'autant que la qualité du son est exceptionnelle. Et j'ai eu raison: ce live est super intéressant et m'a permis d'entrer dans l'univers si particulier de cette artiste. Maintenant, je reste ouvert à toute proposition d'écoute d'un album que vous me recommanderez... En attendant, j'écoute ce live issu d'un bootleg appelé "Red White" dont les deux derniers titres ont été supprimés car écourtés et/ou pollués par des bavardages intempestifs.

    Les titres:

    01. Overture (3:41)

    02. All Is Full Of Love (4:11)

    03. Harm Of Will (4:34)*

    04. Undo (5:43)*

    05. An Echo, A Stain (4:17)*

    06. Unison (6:47)*

    07. Isobel (6:20)

    08. Pagan Poetry (5:28)*

    09. Hyperballad (4:48)

    10. Army Of Me (4:05)

    11. Bachelorette (5:27)

    12. Human Behaviour (6:23) 

    13. It's In Our Hands (6:26)

    Place aux Femmes! Bjork - Tokyo - 5 décembre 2001

    Pour l'écouter, ce n'est pas loin.....Bjork au Japon

    That's all folks!

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