• Chefs d'oeuvre oubliés # 19: White Noise - an electric storm (1969)

    Chefs d'oeuvre oubliés # 19: White Noise - an electric storm (1969) 

    Un orage électrique. C'est l'effet que produit ce disque issu de l'imagination de deux chercheurs du BBC radiophonic Workshop , Delia Derbyshire et Brian Hodgson croisée avec celle du bassiste américain David Vorhaus.

    Le résultat? Un mélange entre le rock psychédélique de Pink Floyd et les expériences électroniques les plus avancées de l'époque.

    On trouve de tout dans cette oeuvre avant-gardiste: des râles issus de vraies orgies , des bandes trafiquées, des jeux de stéréo, de l'écho etc... L'ensemble compose , grâce à une orchestration savante, un album plein de poésie, de sons inouïs ailleurs et perce des secrets que des groupes comme Stereolab ou Broadcast ont eux aussi essayé de percer.

    Les titres:

    Phase-In

    1 Love Without Sound 3:07

    2 My Game Of Loving 4:10

    3 Here Come The Fleas 2:15

    4 Firebird 3:05

    5 Your Hidden Dreams 4:58

    Phase-Out

    6 The Visitation 11:14 

    7 Black Mass: An Electric Storm In Hell 7:22

    Chefs d'oeuvre oubliés # 19: White Noise - an electric storm (1969) 

    Pour l'écouter, ce n'est pas loin....Bruit blanc

    That's all folks!

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  • Commentaires

    1
    eric
    Lundi 15 Mai 2017 à 11:16

    Hello Fracas. Merci pour cette joyeuse bande d'allumés. Il est toujours plaisant de bien commencer la semaine. Je n'ai pas tout écouté, mais les extraits proposés préfigurent du lourd. Dans un registre moins expérimental, mais bien barré, "Dreamsalon" que tu connais peut-être.

    https://www.youtube.com/watch?v=rHnoF2pzD_4&list=PLPF2GvH3klM5WgL1DxMLtW-SRcbtcyBi2&index=2

      Bonne semaine à toi et aux visiteurs. A bientôt. Eric.

      • Vendredi 26 Mai 2017 à 15:33

        Eric, je ne connais pas Dreamsalon. Je vais écouter ça.

    2
    sorgual
    Vendredi 26 Mai 2017 à 13:54

    Je viens juste de découvrir et suis scotché, énorme, grandiose. Ces types là ont tout inventé : j'entends Wyatt sur my game of loving, Portishead sur love without sound, le rock progressif et Pulsar dans the visitation, Hawkwind dans le dernier ... Merci, pas souvent que l'on découvre un oublié aussi important. Paradoxalement je ne le trouve pas si musique expérimentale, électro que cela, peut ëtre le fait de cette "modernité" qui fut celle de ma jeunesse à postériori.

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